Programme de recherche
Nos objectifs
Au cours des neuf années seront repensés les concepts, reposées les questions, élaborés les instruments et esquissées des solutions.
Le programme de recherche de la Chaire est prévu pour neuf ans, séquencés en trois périodes.
Études de terrain comparatives (France, Chine, États-Unis, Mexique), avec élaboration
d’indicateurs et d’une méthodologie interdisciplinaire expérimentale.
Création d’un séminaire permanent.
Valorisation des axes de recherche avec expérimentation sur les terrains préalablement identifiés.
Mise en place d’un espace de formation destiné aux professionnels de santé couplé à un think tank sous la forme d’une « fabrique de projets à haute valeur en santé ».
Nous allons certes étudier de nouveaux terrains et champs d’enquête (France, États-Unis, Chine, Mexique), profiter des instruments des philosophes, des sociologues, des psychologues, des historiens et des économistes, en tentant d’élaborer des méthodes réellement transdisciplinaires. Mais, surtout, nous allons recentrer les enquêtes, en commençant par la question dont toutes les autres dépendent : celle de la valeur.
Partir de la valeurs du soin appelle à s’interroger sur son efficience, susceptible d’être mesurée par des indicateurs, qu’il faudra élaborer et tester. Il faudra également évaluer de quelle manière la centricité peut permettre au patient de mobiliser ses propres valeurs dans son parcours de soin, et lesquelles de ces valeurs l’organisation peut promouvoir. Le soin ne devra pas seulement être guidé par des intérêts techniques et économiques, ceux encouragés par la médecine dite personnalisée.
Si la maladie, en portant atteinte aux capacités empêche, contraint, voire aliène, un défi est bien celui de considérer le malade comme un individu autonome.
Partir de la valeurs du soin appelle à s’interroger sur son efficience, susceptible d’être mesurée par des indicateurs, qu’il faudra élaborer et tester. Il faudra également évaluer de quelle manière la centricité peut permettre au patient de mobiliser ses propres valeurs dans son parcours de soin, et lesquelles de ces valeurs l’organisation peut promouvoir. Le soin ne devra pas seulement être guidé par des intérêts techniques et économiques, ceux encouragés par la médecine dite personnalisée.
Si la maladie, en portant atteinte aux capacités empêche, contraint, voire aliène, un défi est bien celui de considérer le malade comme un individu autonome.